NOS « TERRES RARES » SONT… AGRICOLES ! IL FAUT LES PROTÉGER !!!
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76% de français sont favorables à l'introduction d'aliments bios, locaux et de saison en restauration collective publique (sondage IFOP 2016) et 88% des parents voudraient que leurs enfants se voient proposer du bio à l'école (sondage CSA 2015).
Et pourtant, 8 ans après le Grenelle de l'Environnement et les promesses des gouvernements successifs, alors que la part de terre agricole dédiée à la bio vient de dépasser les 5% et que le nombre de demandes de conversion à la bio augmente de façon très importante depuis deux ans.
En effet, le modèle agricole dominant productiviste est désastreux.
Face à cette situation, la restauration collective peut être un levier d'action efficace et concret. Les élus peuvent agir en donnant la priorité à l'alimentation bio, locale et de saison.
Le prix constituerait souvent un frein, mais les exemples d’introduction de bio à coût équivalent sont nombreux. Cela peut passer notamment par un travail de réduction du gaspillage alimentaire et des emballages et par une diminution des protéines d’origine animale.
Les producteurs bio ont structuré dans chaque région des filières d’approvisionnement professionnelles pour la restauration collective et attendent les commandes de pied ferme !
Si toutes les cantines françaises introduisaient 20 % de bio cela nécessiterait moins de 400 000 hectares de terres à comparer aux 1,5 million d’hectares en bio et aux 29 millions d’hectares de terres agricoles en France.
Les rapports scientifiques prouvant la dangerosité des pesticides s’accumulent (cancers, leucémies...). À ce jour, seule la filière bio garantit aux consommateurs et notamment aux enfants une alimentation de qualité exempte de pesticides.
Une exploitation bio crée près de 60% d’emploi en plus qu’une exploitation conventionnelle. Favoriser le local, c’est stimuler le développement économique et rural, tout en diminuant les transports routiers, un des principaux responsables du changement climatique.