L’association Agir pour l’Environnement lance ce jour, à l’occasion du second
tour de l’élection présidentielle, une campagne d’interpellation des deux
derniers candidats en lice.
L’opération de communication menée ce vendredi soir à Paris par les syndicats
productivistes et pollueurs du Nord Bassin Parisien vise, une fois de plus, à
tromper les citoyens en donnant une image rêvée de l’agriculture française.
L’éco-blanchiment ça commence à bien faire !
Deux nouvelles études, publiées le 29 mars dans la revue Science, démontrent la
responsabilité directe des pesticides de la famille des néonicotinoïdes dans la
mortalité des abeilles domestiques et des pollinisateurs sauvages. Il n'est plus
admissible que ces produits continuent à être utilisés pour traiter les semences
et les plantes cultivées.
Les éditions Actes Sud publient le 21 mars un ouvrage de référence sur l’agriculture biologique, qui explique de façon pédagogique et vivante la réalité concrète de l’agriculture bio au-delà des fantasmes et des idées reçues, puis qui démontre que ce mode de production est le mieux placé pour nourrir une planète à 9 ou 12 milliards d’humains.
Dans un communiqué daté du 07 mars dernier, le ministre des transports annonce
que « la généralisation de l'autorisation de circuler à 44 tonnes entrera en
vigueur le 1er janvier 2013. ».
Un an après le drame de Fukushima, la classe politique française semble se
complaire dans un déni du risque alimenté par une amnésie totale de la énième
catastrophe « impossible ». Or, Le nucléaire restera un danger pour la France,
même si les candidats optent pour le déni et l’amnésie
Paris, le 28 février
2012 - Le Conseil économique, social et environnemental rend ce jour un avis sur
le Schéma National des Infrastructures de Transport (SNIT). Ce document a
vocation à faire la liste des infrastructures de transport que l’Etat français
estime prioritaires pour les 20 à 30 prochaines années
Trente-trois personnalités *,
représentant 30 organisations rurales, paysannes,
environnementales, de solidarité internationale, de la santé
et de citoyens, publient ce vendredi 24 février une tribune
dans la version internet du journal Le Monde.
Depuis sa création en 1971 par Robert Poujade, c’est la première fois que la
France ne dispose plus d’un ministre de l’Ecologie en titre et en fonction.
Cette situation inédite, quelque peu paradoxale pour un président qui a débuté
son quinquennat par le Grenelle de l’environnement, relève l’ambivalence d’une
politique spectacle.