Par manque de ressources
financières du à l'abandon de l'écotaxe, l'État semble prêt à accorder un
allongement des concessions autoroutières de trois années supplémentaires à
Vinci, Eiffage et Abertis et ce afin de financer un plan de relance autoroutier
évalué à plus de 3,6 milliards d'euros.