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La téléphonie mobile est un risque émergent sur lequel la science ne peut pas aujourd’hui tout dire. Le manque de recul nécessaire à toute une série d’investigations scientifiques est criant. De fait, la science a ignoré jusqu’à maintenant des pans entiers de la recherche sur les effets des ondes électromagnétiques sur nos organismes, comme par exemple, les effets des expositions chroniques à faible dose. Les signaux préoccupants s’accumulent pourtant.
En 2009, prenant en compte les effets biologiques recensés et en application du principe de précaution, l’Agence nationale de santé environnementale (ANSE) a ainsi recommandé de réduire les expositions sans attendre que toutes les preuves soient établies.
En juillet 2011, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classé les ondes de la téléphonie mobile comme potentiellement cancérigènes.
Le 7 janvier 2013, un groupe de scientifiques international – le BioInitative Group, a publié une nouvelle expertise issue de la lecture de 1800 nouveaux articles scientifiques.
Les auteurs y développent des analyses sur des effets jusque-là peu mis en avant :
Sur les effets plus connus les preuves s’accumulent :