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Les opérateurs installent des milliers d’antennes relais chaque année sans règlementation contraignante.
L’arrivée d’un nouvel opérateur mais aussi la multiplication des applications technologiques sans fil (DECT, WiFi, Wimax, 3G et prochainement la 4G) développées sans la moindre étude d’impact sanitaire, augmentant sans cesse l’exposition des usagers et des riverains d’antennes relais.
Directement par l’intermédiaire du portable ou indirectement via les antennes relais, les « box », les tablettes, les compteurs « intelligents »… nous sommes toutes et tous soumis aux ondes de la téléphonie mobile.
Depuis mai 2002, un décret fixe des valeurs d'exposition du public aux ondes de la téléphonie mobile. Ces valeurs, extrêmement élevées, sont fixées en référence aux seuls effets thermiques des ondes électromagnétiques alors même que tout le débat scientifique actuel porte sur les effets non thermiques, lesquels sont susceptibles d’apparaître à des niveaux d’exposition nettement inférieurs (dès 0,1 V/m à 0,4 V/m selon le dernier rapport BioInitiative). A ce jour, les opérateurs ne doivent pas exposer les riverains à des seuils supérieurs à 51, 58 et 61 volts par mètre (V/m) en fonction de la gamme de fréquence utilisée. Sur plus de 26.000 mesures effectuées en France, un seul site dépasse 15 V/m. Pour protéger les populations, il est grand temps d’abaisser significativement les seuils d’exposition et de rendre obligatoire, avant le développement de toute évolution technologique ayant une incidence sur l’exposition des riverains d’antennes, une véritable étude d’impact sanitaire laquelle doit être menée par des experts indépendants.
Il est également nécessaire d’instaurer plus de transparence dans les procédures d’installation d’une antenne relais en restaurant l’obligation d’obtention d’un permis de construire pour toutes les installations ou les modifications des installations existantes.
Il faut également améliorer les outils d’information et de concertation :