3. Wifi... de la friture sur la ligne !

L’activation par défaut du Wifi des "box" doit être proscrite. Concernant les lieux accueillant du public (et particulièrement les publics dits sensibles), la connexion par câble doit être systématiquement privilégiée ; les connexions Wifi déjà installées devraient être abandonnées rapidement.

L’internet sans fil s’est rapidement répandu. A tel point que dans certains appartements situés en zone urbaine, il n’est pas rare d'être exposé à plusieurs dizaines de réseaux Wifi. De faible puissance, les « box » fonctionnent néanmoins en continu et parfois à grande proximité des lieux de vie. Livrées activées, ces « box » engendrent un smog électromagnétique pour une utilité tout à fait discutable. L’internet par câble (ADSL) est une alternative techniquement bien supérieure au Wifi, plus rapide et n’engendrant pas d’exposition chronique.

Malgré tous ces avantages, nombre d’écoles, bibliothèques, hôpitaux et mêmes certaines crèches se dotent de réseaux sans fil. Saisissant tout l’intérêt qu’il y a à surfer sur cette idéologie du « sans fil », les opérateurs développent actuellement des « femtocells », mini-antennes relais insérées dans chaque « box » individuelle.  Celles-ci permettent aux opérateurs de faire l’économie de l’installation d’un certain nombre d’antennes relais. Ce faisant, la « box » rayonne beaucoup plus et l’usager devient également le riverain d’une mini-antenne relais cachée !

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