La liste de plus de 300 produits contenant ou pouvant contenir des nanoparticules
Plus nous sommes nombreux, plus nous avons d’impact.
Adhérez maintenantDiffusez la campagne via
Soutenez l'association, participez aux frais engagés : faites un don !
A l’issue du Grenelle des ondes, le parlement a adopté une loi qui est à ce jour inappliquée !
Les principaux opérateurs ciblent les enfants alors que la loi l’interdit ! Certaines entreprises n’hésitent pas à commercialiser des portables, tablettes et autres doudous communicants destinés à des nourrissons sans que la ministre de la santé ne mette fin à ces opérations alors que la règlementation le lui permet. Même le débit d’absorption spécifique (DAS) permettant d’informer un éventuel acheteur de l’exposition induite par un portable n’apparaît que sur moins d’un portable sur deux vendus en ligne !
Par-delà cette illégalité pleinement assumée par l’état et les opérateurs, il est également à noter que l’interprétation de loi est un sport dans lequel excellent les décideurs ! Alors que le Grenelle des ondes invitait le législateur à interdire les portables dans les enceintes scolaires, les députés ont fait le choix de seulement en interdire l’utilisation. Ce faisant, un adolescent peut posséder un portable qu’il n’a pas le droit (légalement) d’utiliser…
De même, la loi Grenelle oblige l’état à référencer les points chauds électromagnétiques, à savoir les lieux où l’exposition aux ondes des antennes relais est sensiblement plus élevée que la moyenne nationale. La moyenne du champ s’établissant à 0,9 V/m… l’état a fait le choix de fixer arbitrairement la valeur des points chauds à… 6 V/m. De fait, en arrêtant cette valeur, moins d’un pour cent des antennes relais seraient éventuellement concernées par une modification !