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Recevoir nos actionsComme des milliers d'autres personnes, suivez l'actualité de l'association et de ses actions.
S'abonner par email S'abonner par RSS Suivre sur Facebook Suivre sur TwitterLa campagne Autoroutes : l'impasse climatique, éditée à 25000 exemplaires, a été initiée par Agir pour l'Environnement afin de faire pression sur le ministre de la transition écologique et la ministre déléguée en charge des transports, afin d'obtenir un abandon des projets autoroutiers. Cette campagne a débuté le 1er mars 2018 et devrait se clore le 31 décembre 2018.
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Faire un donLes 23 et 24 juin prochain auront lieu à Poitiers les premiers Etats généraux des Abeilles, des semences et de la biodiversité. Face au mouvement général de la privatisation du vivant, qui en plus mène à la régression de la biodiversité, il est temps de réagir.
A l'invitation du sénateur Ronan DANTEC, Agir pour l'Environnement, les JNE, 4D et la Fondation France Libertés organisent un colloque intitulé "Rio+20 : Notre maison brûle... toujours !" au Sénat à l'occasion du sommet de la Terre de Rio+20 qui aura lieu du 20 au 22 juin 2012.
A quelques jours du Sommet de la Terre (Rio+20) qui se déroulera à Rio du 20 au 22 juin et qui fait écho à la première conférence sur l'environnement et le développement de 1992, associations, syndicats, élus, dirigeants, entreprises, etc. se mobilisent. À l'initiative des Nations Unies, ce Sommet de la Terre, a pour but de dresser un bilan de ces vingt dernières années en matière d'environnement et de tracer les perspectives pour les vingt prochaines années en mettant l'accent sur deux thèmes principaux : la croissance verte censée éradiquer la pauvreté et la gouvernance internationale.
À l’occasion de la parution du n°12 d’ENTROPIA, le blog d'Agir pour l'Environnement accueille Jean-Claude BESSON-GIRARD. Entropia organise samedi 19 mai 2012, un colloque intitulé "Fukushima, fin de l'anthropocène ?"
En juin prochain, les Chefs d’État et de gouvernement se pencheront au chevet de la planète à l'occasion du Sommet de Rio+20, sur des thématiques sujettes à caution : la « croissance verte » et « la gouvernance internationale ». Il y a dix ans déjà à Johannesburg en Afrique du Sud, Jacques Chirac déclamait un discours qui fit date : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Malgré le lyrisme du propos, en regardant ailleurs, nous ne voyons que des pompiers pyromanes nous enfumant de belles paroles.
Vingt ans après la première conférence sur l'environnement et le développement à Rio et dix ans après celle de Johannesburg, les chefs d’État et de gouvernement vont se réunir une nouvelle fois à Rio du 20 au 22 juin prochain pour effectuer un bilan de l'état de la planète et tracer des perspectives.
La pensée écologique s'est construite sur une volonté et un principe : "Penser globalement tout en agissant localement !". La protection de l'environnement réclame de la cohérence, de la ténacité et une volonté d'agir dans le temps et dans l'espace. Depuis le sommet de Johannesburg, certains responsables politiques ont pris pour mauvaise habitude de revêtir les habits de l'écologiste pour perpétuer une politique destructrice de l'environnement. C'est ainsi que fleurissent des discours qu'un René Dumont ne renierait pas, discours censés justifier une politique locale scandaleusement attentatoire aux écosystèmes. Parallèlement à cette explosion de bons mots écologiques, des projets climaticides sont mis en oeuvre. Plus d'un millier de kilomètres d'autoroutes, un aéroport, un réacteur nucléaire… sont actuellement en projet aux quatre coins du territoire français. Quelle crédibilité attendre de responsables politiques dont le double langage devient une seconde nature ?